Depuis toujours, on fait croire aux femmes que leur manque de confiance vient de leurs défauts. Et qu’en les gommant, elles finiront par s’aimer. Sauf que ce n’est pas notre corps le problème. C’est ce qu’on nous a appris à en penser.
“Si je perdais 5 kilos, si j’avais moins de boutons, si mes seins étaient plus gros, alors je m’aimerais.”
On y a tou·te·s cru, à cette promesse bien ficelée, vendue avec le tout nouveau mascara yeux de biche ou le dernier programme fitness ventre plat. Mais si c’était en réalité de la poudre de perlimpinpin ?
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Depuis toujours, on pense qu’on manque de confiance en soi à cause de nos défauts. Et qu’une fois corrigés, retouchés, gommés… on s’aimera enfin.
Sauf que ce n’est pas notre acné, notre ventre ou nos petits seins le problème. C’est la haine de soi qu’on nous apprend très tôt à intérioriser.
67 % des femmes sont complexées par leur corps (OpinionWay pour LALALAB). Et quand un complexe disparaît, un autre prend le relais. L’acné fait place aux bourrelets, les bourrelets aux trop petits seins, les trop petits seins au trop gros nez. C’est une histoire sans fin.
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