On aime les mères tant qu’elles sourient, mais dès qu’elles parlent de charge mentale, de solitude, de violence ou de burn-out… ça gêne. La fête des mères, cette fête qui en dit plus sur notre hypocrisie que sur notre amour.
Bonne fête maman. Vraiment ?
Chaque année, c’est le même cirque. Fin mai, on se prend une avalanche de “Merci maman”, “Tu es notre héroïne”, “On t’aime fort”… et c’est beau… mais c’est aussi très hypocrite.
Si cette newsletter vous plait, soutenez-la :
💜 Partagez-la et recommandez-la à vos ami·e·s !
🥳 Abonnez-vous pour seulement 5€ par mois et recevez un article chaque semaine.
Parce que derrière la célébration marketing se cache une réalité bien plus amère : être mère, en 2025, reste un combat pour les femmes. Un combat quotidien contre l’isolement, le burn-out, la dépression post-partum, la charge mentale, les violences obstétricales, le sexisme au travail, les jugements sur le choix d’allaiter ou non, l’absence de congés décents…
Alors non, on ne va pas se réjouir d’une journée qui glorifie la maternité tout en invisibilisant les difficultés de celles qui la vivent.
...